Faire de l’agriculture un vecteur fort du développement durable en Aquitaine
Selon Sud-Ouest du 19 Mai 2008, « l’Aquitaine ne connaît pas la crise…pour le moment ». La période est donc favorable au renforcement du développement durable, déjà décliné par le Conseil Régional d'Aquitaine dans le domaine du transport, des éco-technologies, des énergies renouvelables… Mais qu’en est-il des filières de l’agriculture biologique et de l’agrobiologie ?
Sur Bordeaux, il est possible de se procurer dans plusieurs lieux des légumes biologiques, mais aussi de le viande ; dans les épiceries spécialisées, chez certains marchands de primeurs et auprès de structures associatives comme le Panier Moderne à Bacalan ou encore Paysans et Consommateurs Associés à l'Utopia. Il est nécessaire de soutenir ces structures, qui sont fragiles, en les accompagnant afin qu'elles restent pérennes. Régulièrement les agriculteurs bio déplorent l’absence d’un enseignement spécifique dans les lycées agricoles qui permettraient de mieux diffuser savoir et expérience. Ainsi qu’il est souvent souligné par les spécialistes, pour être à la fois respectueuse pour l’environnement et rentable pour l’exploitant, l’agriculture biologique nécessite des connaissances scientifiques étendues et ne peut se satisfaire d’apprentissage. Le Parti Radical de Gauche cherche à promouvoir au niveau européen l’accompagnement des productions agrobiologiques. Il apparaît nécessaire de lancer au niveau des Régions des programmes de recherche interrégionaux en faveur de cette agriculture. Par ailleurs, il est essentiel de donner aux agriculteurs les moyens de développer une agriculture plus économe et plus autonome, à intrants et coûts réduits. Les Radicaux de Gauche veulent que la formation des agriculteurs soit encouragée, tout au long de leur activité, ne serait-ce que pour équilibrer les pressions de l’industrie des fabricants d’intrants, les pressions des Banques et celles des industries agro-alimentaires, dont les intérêts ne recoupent que peu ceux des défenseurs de l’agriculture biologique. Le Salon de l’Agriculture Aquitaine, qui se déroulera du 1 au 12 Mai à Bordeaux-Lac, serait bien inspiré d’ouvrir ses portes à des hommes comme Pierre Rabhi, qui prône depuis plus de trente ans une agriculture éco-responsable et solidaire, et diffuse son savoir sous toutes les lattitudes.
Sur Bordeaux, il est possible de se procurer dans plusieurs lieux des légumes biologiques, mais aussi de le viande ; dans les épiceries spécialisées, chez certains marchands de primeurs et auprès de structures associatives comme le Panier Moderne à Bacalan ou encore Paysans et Consommateurs Associés à l'Utopia. Il est nécessaire de soutenir ces structures, qui sont fragiles, en les accompagnant afin qu'elles restent pérennes. Régulièrement les agriculteurs bio déplorent l’absence d’un enseignement spécifique dans les lycées agricoles qui permettraient de mieux diffuser savoir et expérience. Ainsi qu’il est souvent souligné par les spécialistes, pour être à la fois respectueuse pour l’environnement et rentable pour l’exploitant, l’agriculture biologique nécessite des connaissances scientifiques étendues et ne peut se satisfaire d’apprentissage. Le Parti Radical de Gauche cherche à promouvoir au niveau européen l’accompagnement des productions agrobiologiques. Il apparaît nécessaire de lancer au niveau des Régions des programmes de recherche interrégionaux en faveur de cette agriculture. Par ailleurs, il est essentiel de donner aux agriculteurs les moyens de développer une agriculture plus économe et plus autonome, à intrants et coûts réduits. Les Radicaux de Gauche veulent que la formation des agriculteurs soit encouragée, tout au long de leur activité, ne serait-ce que pour équilibrer les pressions de l’industrie des fabricants d’intrants, les pressions des Banques et celles des industries agro-alimentaires, dont les intérêts ne recoupent que peu ceux des défenseurs de l’agriculture biologique. Le Salon de l’Agriculture Aquitaine, qui se déroulera du 1 au 12 Mai à Bordeaux-Lac, serait bien inspiré d’ouvrir ses portes à des hommes comme Pierre Rabhi, qui prône depuis plus de trente ans une agriculture éco-responsable et solidaire, et diffuse son savoir sous toutes les lattitudes.